Ca peut aussi être tout simplement parce que la thèse, parfois, ça prend la tête… Mais ce n’est pas non plus de cela que j’ai envie de te parler aujourd’hui. Non, c’est tout simplement que les maux de crâne viennent en tout premier lieu… du manque d’eau dans le corps ! Je l’avais découvert il y a quelques années lorsque je m’étais intéressée aux médecines chinoise et ayurvédique. En buvant davantage d’eau plus régulièrement, les maux de tête (et d'autres troubles, au passage) baissent de façon significative. Et puis, comme ça allait mieux, j’ai fait moins attention. Lorsque j’ai traversé une période particulièrement dure en milieu de thèse, j’y ai repensé, et j’ai commencé à prêter de nouveau attention à la quantité d’eau quotidienne que je bois. Et je constate un lien direct entre la survenue des maux de tête et l’eau consommée dans les jours qui ont précédé, et entre mon efficacité intellectuelle et l’eau consommée le jour même. D’ailleurs, quand on a une gueule de bois, c’est aussi que le corps manque d’eau, et quand on a trop de soucis, on oublie souvent aussi de s’hydrater convenablement. Régulièrement je zappe, car être vigilante constamment n’est pas chose aisée, mais dès que j’ai une baisse de forme ou de concentration voire que les maux de tête pointent leur nez, c’est la première chose à laquelle je prête attention : quelle quantité d’eau ai-je bu aujourd’hui ? Et ces derniers jours ? Et j’augmente consciemment ma consommation d’eau. Mon repère est un mug par heure de travail. La plupart du temps, ça aide vraiment. C’est aussi simple que ça. Quand je me suis mise à boire… de l’eau, mon cerveau a mieux fonctionné 😊 On passe à l'action ? #1 : Et si tu te servais un verre d’eau pour le boire, là, maintenant ? #2 : Tu peux choisir une tasse, un mug, une gourde qui te plait et t'assurer qu’elle est remplie à chaque début de session de travail. Tu peux la poser sur ton bureau, et boire à chaque fois que tes yeux se posent dessus, que tu aies soif ou non, de sorte qu’elle soit vide à chaque fin de pomodoro. #3 : Tu peux observer pendant une semaine la quantité d’eau que tu bois et comment tu te sens. Utiliser un même format (toujours la même tasse ou gourde) aide car c’est plus facile de compter en nombre de mugs/gourdes qu’en centilitres. Si tu aimes la rigueur tu peux prendre un cahier et noter chaque jour, la quantité d’eau et le niveau de concentration/d’efficacité. Si tu es plus intuitif, tu peux simplement prendre un instant chaque soir par exemple pour y repenser. #4 : Et si tu partageais ton expérience en commentaire ou par message ? Si tu souhaites recevoir un message chaque lundi pour te rappeler que tu es un.e puissant.e doctorant.e, inscris toi ici !
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Autrice
Doctorante en fin de thèse quand je lance ce blog, j'ai mis à profit mes 15 années d'expérience professionnelle et de développement personnel préalables pour vivre au mieux cette aventure pour moi et des collègues. Ces dernier.e.s m'ont incitée à partager plus largement, et Puissant.e.s Doctorant.e.s est né ! Archives
Juillet 2023
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