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... fumer une clope, boire un café, manger, commenter ce que l’on est en train de faire (ou de ne pas faire) et/ou regarder ses emails ou les réseaux sociaux. Dans ce cas, les pauses ne permettent pas forcément de couper, et en tous cas pas de se recharger.
Et deux, lorsque la pause est un truc qui nous fait plaisir, souvent elle est vue comme une récompense. Or, pour moi, la pause « récompense » ne marche pas très bien comme outil de motivation de façon durable. A l’usage, j’ai trouvé plus efficace de commencer par 10 minutes qui me ressourcent pour faire le pomo dans de bonnes conditions, d’où le fait de raisonner en 10+50 et non en 50+10 Deuxième astuce qui s’est avérée utile pour moi : prévoir ma pause à l’avance ce que j’allais faire, pour ne pas avoir à y penser au moment même. Pour vous faciliter la préparation, voici 31 suggestions : lors que je suis chez mes parents, je prends un vélo et je vais faire un tour pour m’aérer après ma journée de rédaction. Je me fie à mon souvenir pour le circuit, ayant fait ce trajet plein de fois dans mon enfance. Je descends une immense descente, tourne, continue. Je roule je roule.
Dis donc, je me suis empâtée, je peine dis donc ! Je continue, et je guette la grande côte, courte mais très raide, pour remonter sur le plateau. Et tout à coup, paf,
Et je me sentais nulle car pas capable de mener une thèse par moi-même.
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Autrice
Doctorante en fin de thèse quand je lance ce blog, j'ai mis à profit mes 15 années d'expérience professionnelle et de développement personnel préalables pour vivre au mieux cette aventure pour moi et des collègues. Ces dernier.e.s m'ont incitée à partager plus largement, et Puissant.e.s Doctorant.e.s est né ! Archives
Juillet 2023
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