Crisco : LE dictionnaire des synonymes
Deepl : ce site permet de traduire automatiquement des extraits de texte voire des documents entiers dans ou depuis une vingtaine de langues européennes. Si vous avez du mal en anglais, ou si vous trouvez une super référence en finnois, ça devient accessible ! I love pdf : convertir un pdf en word (ou excel, ppt etc.), fusionner plusieurs documents pdf en un seul, réorganiser l’ordre des pages d’un pdf, entre autre, bref, faire ce que vous voulez depuis ou vers des pdf est possible gratuitement grâce à ce site Cold Turkey blocker : avec cette application gratuite, les sites internet que vous déciderez de bloquer ne sont plus accessibles tant que l’option de blocage est activée. Si vous allez sur FB, Insta etc., il vous affiche gentiment que vous avez bloqué ce site. Vous pouvez réactiver les sites en ouvrant l’appli et en désactivant le blocage. Dans le même esprit, vous avez blocksite (chrome uniquement), Selfcontrol (pour mac uniquement), et Freedom (payant). Cold Turkey writer : Avec cet outil, votre ordinateur se transforme en machine à écrire : vous ne pouvez plus rien faire d’autre. Avant de le lancer, vous devez indiquer soit un nombre de caractères, soit une durée, durant laquelle votre ordinateur sera bloqué, vous n’aurez accès à rien d’autre. La seule chose que vous pouvez faire, c’est écrire du texte. Cela m’est particulièrement utile lorsque je sais que je dois sortir mes idées mais que je passe mon temps à aller vérifier une référence par exemple, à vouloir revoir ce que j’avais écrit par ailleurs, ou à corriger ce que j’écris car je suis trop critique, bref, à ne pas faire confiance à ce qu’il y a dans ma tête pour sortir mes propres idées. C’est donc pour moi un super outil pour sortir un premier jet en faisant appel à l’artiste et à la guerrière en moi, et mettre en sourdine l’exploratrice et la juge (si tu ne vois pas de quoi je parle, viens faire un tour par ici) J’espère que ces outils t’aideront à gagner du temps (ou éviter d’en perdre !) et libérer de l’espace de cerveau pour être mieux concentré.e ! Si tu as des outils que tu utilises (pas dont tu as simplement connaissance, mais auxquels tu as recours et font une vraie différence pour toi et dont tu penses qu’ils pourraient faire une différence pour les autres doctorants, tu peux les partager en commentaire à la suite de cet article et/ou me les envoyer pour que cela puisse faire l’objet d’un article complémentaire. Et maintenant, allez hop hop hop, au boulot !
0 Commentaires
Pour moi, une thèse par articles, c’était inenvisageable. Une thèse, ça doit permettre d’aller au fond des choses, ça demande du temps, une thèse par article, c'était forcément à cause de la pression à la publication qui pèse de plus en plus sur les doctorants (en tous cas dans ma discipline), et ça me révoltait même (non, je ne fais pas touours dans la finesse...).
Et puis, j’ai vu des thèses par articles très intéressantes, qui permettaient d’aborder un sujet sous des angles différents et analyser une même situation par plusieurs prismes, donnant une complémentarité riche. La thèse par articles aurait-elle été mieux ? Il y a des sujets dont je préfèrerais ne pas avoir à traiter... mais il ne faut pas se leurrer, ça arrive.
Je pourrais commencer en disant que j’ai eu la chance qu’avec ma DT, ça se passe bien. Mais ça ne serait pas tout à fait vrai : ce n’est pas que de la chance. Je crois que c'est le fruit d'une expérience de vie que je vais partager.
![]() Tu connais l’image du verre à moitié vide et du verre à moitié plein, j’imagine. Oui mais, tout dépend du contexte, si on veut le vider ou le remplir, que c'est bon ou pas etc. On est d'accord. Mais si ça te va, on va garder ici la métaphore dans son sens commun du verre vide à moité plein positif (=optimiste), et du verre à moitié vide négatif (=pessimiste). Et bien moi, je suis plutôt du genre à voir spontanément le verre à moitié vide
![]() Après le témoignage d'Estefania, il y a quelques temps, c'est Noémie qui nous partage aujourd'hui son expérience. Noémie Guérif a soutenu une thèse en Didactique des langues le 5 décembre 2019 à l’Université d’Aix-Marseille. Elle est aujourd’hui spécialiste en éducation pour l’ONG Enfants du monde et travaille pour l’inclusion des langues des élèves à l’école. En 2018, elle a co-fondé l’association Parent(thèse) Bretagne-Loire avec Estefania Dominguez (docteure en Didactique des langues) et Matthieu Josselin (docteur en Sciences du langage et de l’éducation). Elle nous parle de l'après-thèse, que l'on a tendance à occulter et revient sur des compétences que le doctorat lui a permis de développer. ![]() Faire une thèse c’est passer son temps à recevoir des critiques. Je ne sais pas comment tu vis ça. En ce qui me concerne, c’est très dur pour la perfectionniste en moi, tiraillée entre la joie que les commentaires aident à s’améliorer, et la frustration, voire la colère, que je ne sois pas parfaite. Euh, que mon texte ne soit pas déjà parfait. Lapsus. Pour que les critiques soient constructives, on peut espérer qu’elles soient formulées de telle ou telle manière, mais ça, on n’en a pas la maîtrise Par contre, la façon de réagir aux critiques reçues et ce que l’on en fait nous appartient. Pour aider à ce que nos propres réactions soient constructives, voici quelques conseils et questions glanées au fil de mon parcours qui m'aident énormément
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Autrice
Doctorante en fin de thèse quand je lance ce blog, j'ai mis à profit mes 15 années d'expérience professionnelle et de développement personnel préalables pour vivre au mieux cette aventure pour moi et des collègues. Ces dernier.e.s m'ont incitée à partager plus largement, et Puissant.e.s Doctorant.e.s est né ! Archives
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